La vie change dans l'instant.
On s'apprête à dîner et la vie telle qu'on la connaît s'arrête.
La question de l'apitoiement.
Tels étaient les premiers mots que j'avais écrits après l'événement. […]
Que voilà de bonnes nourritures pour commencer une journée…on reste en attente du deuxième miracle, moi je le sais parce que j’ai lu le livre…
C’est très intéressant , le point de vue de Misrahi sur la liberté. Ça change de toutes ces théories déterministes déprimantes qui font de l’homme un pantin voué au bon vouloir du hasard et de la nécessité. Ça va sans doute paraître encore prétentieux aux partisans de l’humilité tous azimuts…
Entièrement d’accord aussi avec Anne dauphine. Parler vaut toujours mieux que se taire quand il s’agit d’aider l’autre a vivre sa peine. Les mots sont des baumes irremplaçables, même maladroits. S’ils viennent du cœur, ils seront bien accueillis. Mais souvent on n’ose pas, comme si on était frileux, et anéanti par le malheur au point de ne plus trouver les mots. C’est vrai que dans le malheur, ce n’est facile pour personne.
Tu as eu de belles lectures cet été à ce que je vois. Mens sana in corpore sano, tu vas être parfaite pour la rentrée!
C’est une chouette idée de recopier comme ça un passage d’un livre qu’on a lu. Je vais certainement lire le livre de Misrahi.
Célestine: oui mais – et je ne l’ai pas dit – le cheval marron, je l’ai rencontré en Normandie et j’ai eu le même émerveillement.
Bonheur du jour: J’aimais beaucoup mais ce n’était pas franchement facile à lire, pffff….
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